Captif dans l’immensité surannée
De nos empreintes insoumises.
A nos marées insensibles au temps
Qui se déversent dans les eaux impétueuses
De nos vastes étendues intérieures, assoiffées.
Captif dans l’immensité surannée
De nos empreintes insoumises.
A nos marées insensibles au temps
Qui se déversent dans les eaux impétueuses
De nos vastes étendues intérieures, assoiffées.